Libellule – Agrion de Mercure

elle vibrionne

par La libellule Agrion de Mercure

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La libellule qui fait partie de la famille des Odonata ou « odonates » est un insecte facilement reconnaissable grâce à la forme de son corps allongé, ses deux paires d’ailes translucides et ses yeux protubérants. Les couleurs vives et métalliques de certaines espèces en font une créature fascinante et enchanteresse.

Apprenons à connaitre la libellule, ses habitudes alimentaires, son habitat et d’autres habitudes de vie. La libellule ou « odonate ».

Nom Commun : Libellule

Nom de la famille d’insecte : Odonata. En français, on appelle les libellules « odonates ». Le mot « odonate » vient du terme grecque utilise qui signifie « dent ». Cela vient sans doute du fait que la bouche des libellules est faite d’une mandibule impressionnante.

Nombre d’espèces: A peu près 6.500 dans le monde

Taille : De 19 millimètres et à peu près 13 centimètres

Caractéristiques de la libellule :
Les odonates ou libellules sont facilement reconnaissable parmi les insectes. Elles ont les caractéristiques suivantes :
Une tête relativement grosse par rapport aux autres insectes
Des yeux globuleux aux multiples facettes
Deux paires d’ailes translucides assez longues, de taille à peu près égale, avec un réseau de veines à peine visibles
Un abdomen allonge relativement long composé de 10 segments
De petites antennes
Des mandibules développées
Les libellules sont des insectes et ont le sang froid
Elles utilisent leur vue comme organe sensoriel principal

Anatomie de la libellule :
L’anatomie de la libellule en fait un prédateur exceptionnel avec une vue et une agilité sans pareil dans le monde des insectes. Son corps est compose de trois parties principales à l’instar de tous insectes : Un abdomen, un thorax et une tête.
Deux grands yeux bombes ornent sa tête relativement large pour un insecte. Ses yeux occupent la plupart de l’espace de la tête et parfois sont si près qu’ils se touchent.

L’abdomen de la libellule est formé de 10 segments.

La libellule a six pattes qui partent du thorax. Les pattes ne sont pas utilisées pour marcher. Elles lui servent seulement pour se percher ou pour attraper ses proies. Elles peuvent aussi être utilisées pour toucher sa propre tête ou ses yeux.

Quatre ailes sont également attachées au thorax. Les ailes de la libellule sont presque transparente à l’exception du réseau de veines très fines qui les parcourt.

L’évolution de la libellule : 
Il est dit que son anatomie n’a que peu évolué pendant des millions d’années. A savoir, on a retrouve des fossiles de libellules remontant à l’ère géologique d’il y a 250 a 300 millions d’années avec une anatomie similaire à celles d’aujourd’hui (Source : Dragonflies and Damselflies of California, Tim Manolis).

Néanmoins, il existe des fossiles permiens qui montrent les libellules géantes appelées « Protodonata » dont l’envergure des ailes faisait plus de 65 centimètres. Un des plus gros insectes vivants à l’époque !

Les cousins et cousines de la libellule : 
Le terme libellule est généralement employé pour designer toutes les espèces de la famille des odonates.
Néanmoins, on peut distinguer trois sous-groupes dans cette famille d’insectes désignées sous le nom de Anisoptera, Zygoptera et Anisozygoptera :

La libellule telle qu’on la voit sur ce site fait partie du sous-groupe des Anisoptera.
A ne pas confondre avec la libellule, la demoiselle fait partie d’un autre sous-groupe appelée Zygoptera.
Enfin, les représentants de l’espèce Anisozygoptera sont le plus petit groupe avec seulement quelques espèces répertoriées en Asie.
La différence principale entre les libellules et les demoiselles est que les libellules ont un corps généralement plus épais que les demoiselles. Les libellules se reposent avec les ailes étendues de chaque coté, alors que les demoiselles les replient le long de leur abdomen. Leurs yeux sont plus proches l’un de l’autre et leur tête plus large.

Habitat de la libellule :
En général, la libellule vit au bord d’étendues d’eau. Elle préfère les eaux plutôt calmes ou stagnantes, mais on peut la voir également près des rivières au débit lent ou les canaux. On les trouvera en train de chasser leurs proies près de la surface de l’eau. Certaines libellules plus robustes peuvent s’éloigner des rives pour aller chasser plus loin à l’intérieur des terres.

Puisque les libellules ont le sang froid, elles ne survivent pas dans les endroits trop froids. On les trouve presque partout dans le monde, a l’exception donc des endroits très froids. Bien que la libellule affectionne l’eau, on peut la voir également dans certains environnements désertiques ou l’eau est disponible temporairement.

Alimentation : 
Les libellules sont de remarquables prédateurs. Leurs proies de choix sont des petits insectes volants comme les moustiques qu’elles attrapent en plein vol.

La libellule est un chasseur impitoyable. Elle a deux modes de chasse principaux: Elle peut patiemment attendre sa proie perchée sur une plante et prendre son vole rapidement des que sa victime est suffisamment proche. Elle peut aussi poursuivre sa proie jusqu’à ce qu’elle l’attrape.

Grâce a sa vision et son habilité à voler, la libellule se révèle être un prédateur vorace impitoyable pour les autres insectes volants.

Comportement de Reproduction :
La libellule male rejoint en général la femelle en plein air ou se jette sur elle depuis les airs alors qu’elle est perchée sur une plante. Les œufs de la femelle sont déposés sur les bords d’une étendue d’eau ou dans l’eau.

Cycle de Vie :
La libellule partage sa vie en deux périodes distinctes: Une sous l’eau et l’autre dans les airs. La larve de libellule passe les débuts de sa vie sous l’eau.
Ce n’est que beaucoup plus tard qu’elle va progressivement s’habituer à respirer l’air libre.
Certaines larves de libellule vivent jusqu’à plusieurs années sous l’eau avant de muer en nymphe. D’autres n’y passent que quelques mois.
La larve se transforme en nymphe (l’équivalent de la phase en chrysalide du papillon) avant de muer en libellule adulte.

Source : la libellule.org

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Liens ...
> Vite à l’essentiel : Picardie Nature – ici 

> Encyclopédique : La-libellule.org – ici

> Science entomologique : Museum National d’Histoire Naturelle – ici

> Synthèse bibliographique sur l’Agrion de Mercure : OPIE – ici

> Etude universitaire sur l’Agrion de Mercure dans la vallée de l’Epte : : OPIE – ici

Le moineau

il chuchète, chuchote, pépie, piaille

par Le moineau

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Les caractéristiques générales des ânes sont celles des équidés. Ce sont des mammifères terrestres. Herbivores, ils consomment fréquemment des végétaux fibreux de qualité très médiocre.
Ce sont des ongulés périssodactyles, c’est-à-dire avec dans leur cas un doigt unique, avec des nuances pour chaque espèce : voir les articles détaillés pour plus d’informations sur leur comportement ou leur physiologie respective.

Les ânes partagent toutefois plusieurs caractéristiques communes à l’ensemble des espèces.
Ils sont plus petits que les chevaux. Leurs oreilles sont plus longues que celles des autres équidés.
Bien irriguées, adaptées au désert, elles permettent le refroidissement du corps.
La queue ressemble à celle de la vache.
Elle est pourvue de poils courts à l’exception de l’extrémité recouverte d’une touffe. Leurs yeux sont plus dirigés vers l’avant que ceux des chevaux domestiques.
Contrairement aux chevaux, les ânes ont des châtaignes quasiment inexistantes aux postérieurs.
Leur échine est saillante. Les ânes ne possèdent pas de cinquième vertèbre lombaire comme on le retrouve dans le squelette des autres équidés.
Leurs sabots sont également caractéristiques. Plus verticaux, plus petits et plus durs que ceux des chevaux, ils n’ont pas besoin d’être ferrés, sauf s’ils travaillent.
Leur poil est long, rude et présente une grande variété de texture. La crinière, au toupet quasiment inexistant, est courte, dressée sur l’encolure et ne dépasse que rarement les douze centimètres.
Leur robe est généralement grise sauf sous le ventre, le museau et le contour des yeux qui sont blancs. Des races domestiques peuvent être à dominante noire, comme le Grand noir du Berry, ou brun, comme le Baudet du Poitou, ou blanc, comme l’âne blanc d’Égypte.
Les races grises comme l’âne de Provence ont aussi une bande cruciale qui se dessine sur leur dos, appelée « croix de saint André ».
Les espèces sauvages présentent une robe allant du gris au brun-sable, voire brun-rouge chez le kiang ou âne sauvage du Tibet.
Leur cri est le braiment qui est une sorte de « Hi-Han » assez strident et puissant absolument caractéristique.

Source : Wikipedia

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