CONNAISSEZ-VOUS l’arboretum national

CONNAISSEZ-VOUS l’arboretum national

Riche de son histoire, l’Arboretum des Barres est un véritable patrimoine végétal constitué de 2 600 espèces et sous-espèces venues des cinq continents et représentées par quelques 9 250 arbres et arbustes. Cette collection étonnante s’offre au public sur 35 hectares, dont 10 hectares accessibles aux personnes à mobilité réduite.

Depuis son ouverture au public en 1985, l’Arboretum des Barres a pour ambition de jouer un rôle majeur en matière d’éducation à l’environnement.  Ainsi, chaque année, plusieurs milliers d’écoliers, de collégiens ou d’étudiants de tous niveaux viennent découvrir à travers des activités très variées et encadrées par une équipe dédiée, les richesses et potentialités de notre environnement.

Sur les traces de la famille de Vilmorin et succédant à l’administration des Eaux et Forêts et à la fameuse École forestière des Barres, l’Office national des forêts est, depuis 2009, gestionnaire de cet espace qui s’inscrit dans un domaine vaste de 283 hectares et continue de faire de l’éducation à l’environnement une priorité.

Seul, en famille, en groupe… en autonomie ou en visite guidée… chacun est libre d’appréhender les collections de l’Arboretum comme il le souhaite. Quel que soit le mode de visite, les cinq sens seront sans aucun doute éveillés. De plus, l’Arboretum est labellisé Tourisme Handicap depuis 2009 et s’est engagé dans la démarche Qualité Tourisme en 2014.

Soucieux de s’adresser à tous les publics et d’offrir de nouvelles approches en matière de tourisme de nature, l’ONF propose, depuis 2009, une saison d’ouverture rythmée par de nombreux événements et animations qui oscillent entre nature et culture : théâtre, musiques du monde, rencontres artistiques mais aussi balades insolites, applications multimédias, ateliers culinaires, fêtes des plantes… sont une manière à la fois ludique, culturelle et innovante de parcourir les cinq continents que représentent les collections de l’Arboretum.

A visiter absolument … Plus d’infos ici : http://www.arboretumdesbarres.fr

LIVRE – l’arbre cet allier méconnu

Dis, ça sert à quoi un arbre vivant ?

L’arbre des villes est grignoté par l’urbanisation, l’arbre des champs est grignoté par la mécanisation, l’arbre des forêts est grignoté par l’exploitation.

Pourquoi ?
Peut-être parce que nous avons tendance à aborder la nature du côté qui nous est directement utile. Et nous ne connaissons que trop l’utilité d’un arbre mort : il fait des planches, du papier, du bois pour se chauffer. De même, il nous est utile de supprimer des arbres pour gagner de la place où habiter, circuler en voiture, ou encore pour laisser le champ libre au tracteur.

Mais, pour défendre nos arbres, nous gagnerions à mieux connaître en quoi ils nous sont utiles de leur vivant. Ils savent nous aider dans de nombreux domaines, dont certains sont tout simplement vitaux. Au-delà de leur utilité, les arbres regorgent d’une richesse que nous commençons à peine à percevoir. La science s’intéresse depuis peu à l’arbre pour des propriétés que nous croyions réservées aux animaux : l’échange, la communication, la mémoire… Les découvertes sont surprenantes. Ces conclusions résultent de longues et minutieuses études, pourtant nous sommes parfois tenté·es de dire qu’elles pourraient provenir du simple bon sens, comme le fait que nous nous sentons mieux en présence des arbres. Après tout, nos lointains ancêtres vivaient dans les arbres. Quoi de plus logique que d’être faits pour vivre en leur compagnie ?

Raison de plus pour s’armer de bons arguments et s’organiser collectivement afin de préserver nos arbres. Parce que quand on coupe des branches ou un tronc, c’est un peu nos propres racines que nous coupons.

En savoir plus : http://www.revuesilence.net/471

Philippe Crassous

Des bandes fleuries pour aider les agriculteurs

Des bandes fleuries pour aider les agriculteurs

Les agriculteurs évoluent dans leurs pratiques et sont aujourd’hui conscients que la solution unique et parfaite n’existe pas vis-à-vis de problèmes sanitaires.
Les principes de l’agroécologie leur deviennent plus familiers et ils sont de plus en plus disposés à les intégrer à leur système de culture, même si le retour sur investissement n’est pas toujours évident à cerner.

Certains producteurs sont prêts à aller loin pour promouvoir chez eux la biodiversité fonctionnelle, refusant tout traitement, supportant des ravageurs nécessaires au développement des auxiliaires, etc.
Dans ce contexte, la bande fleurie a une belle place à prendre !

EN SAVOIR Plus : diaporamas disponibles en ligne.

SOURCE :  Des bandes fleuries pour une lutte biologique par conservation, par François Warlop, 26/01/018 sur le blog Défi Ecologique

Un mécanisme de communication chez les plantes qui s’apparente au système nerveux

Un mécanisme de communication chez les plantes qui s’apparente au système nerveux

L’Agence Science-Presse relaie un article paru (en anglais) dans la revue Science, on y décrit la découverte d’un système de signalisation chez certaines plantes. Un article au titre un peu intriguant a été publié la semaine dernière dans la revue Science : Nervous system-like signaling in plant defense . On y décrit la découverte d’un système de signalisation chez certaines plantes utilisant le glutamate lorsqu’elles sont attaquées par des herbivores.
Le glutamate , un neurotransmetteur excitateur bien connu du cerveau des mammifères, se fixe alors sur un récepteur similaire à celui que l’on retrouve dans le système nerveux. Cela a pour effet d’augmenter la concentration de calcium circulant entre les cellules (rendue visible grâce à une protéine fluorescente ), ce qui avertit en quelque sorte le reste de la plante que l’une de ses feuilles est en train de se faire manger. En quelques minutes seulement, la plante pourrait alors mettre en branle des mécanismes de défense pour protéger ses autres feuilles. Ce parallèle entre ce nouveau système de signalisation mis en évidence chez les végétaux et des éléments biochimiques et fonctionnels similaires dans le système nerveux des animaux à en effet de quoi surprendre à première vue.

La grande différence entre les plantes et les animaux ne vient-elle pas justement du fait que, les plantes étant capables de faire de la photosynthèse, n’ont qu’à se planter au soleil et à utiliser directement l’énergie des photons lumineux pour associer le carbone du CO2 de l’air avec l’eau et les sels minéraux provenant de la terre pour se développer.
Elles n’ont donc pas besoin de se déplacer pour trouver l’énergie nécessaire à la fabrication de leurs constituants. Et n’ont donc que faire d’un système nerveux.
Du côté des animaux, on le sait, nous n’avons pas cette merveilleuse molécule de chlorophylle qui permet la photosynthèse. Nous n’avons donc pas le choix de percevoir notre environnement et de nous y déplacer pour trouver nos sources d’énergie.
Et comme souvent ces sources d’énergies sont d’autres animaux qui se déplacent eux aussi, un système de signalisation très rapide a été privilégié par l’évolution chez les animaux : le système nerveux !
Nos neurones sont donc des cellules à l’origine comme les autres, avec une membrane, un noyau, des organites cellulaire comme les mitochondries, les ribosomes, etc. Mais nos cellules nerveuses ont raffiné un phénomène que l’on retrouve chez toutes les cellules : le fait d’avoir une différence dans la répartition des charges électriques de part et d’autres de la membrane cellulaire (dues à des ions et à d’autres plus grosses molécules).
Ils l’ont raffiné dans le sens où nos neurones possèdent toutes sortes de canaux à travers cette membrane que les autres cellules ne possèdent pas et qui leur permettent de faire varier cette différence de potentiel électrique et de s’en servir comme mécanisme de communication ultra-rapide (de l’ordre de la fraction de seconde) que l’on appelle l’influx nerveux ou potentiel d’action. Ayant la possibilité de faire de la photosynthèse, les plantes n’ont pas favorisé l’évolution de tels canaux et donc du système de communication ultra-rapide, le système nerveux, qui vient avec.
Est-ce que cela veut dire que les cellules végétales ne communiquent pas entre elles ? Oh que non ! On le sait maintenant depuis des décennies, elles peuvent émettre toutes sortes substances volatiles capables de se répandre dans l’air et d’alerter d’autres plantes de la même espèce qu’un insecte est par exemple en train de les grignoter et qu’elles feraient mieux de commencer à synthétiser un poison contre lui si elle ne veulent pas y passer elles aussi.
Et l’on sait maintenant, grâce à l’étude publiée dans Science la semaine dernière, que des molécules peuvent également être diffusées à l’intérieur de la plante elle-même et agir comme un système de communication quoique plus lent que l’influx nerveux (car plutôt de l’ordre de la minute, ce qui les rapproche peut-être davantage d’un signal hormonal d’ailleurs).

Dans cette perspective des nombreux mécanismes moléculaires qu’utilisent les cellules vivantes pour communiquer entre elle, le titre de l’article de Science apparaît peut-être maintenant un peu moins surprenant. Mais néanmoins tout aussi intéressant, car il ajoute une brique de plus à tout ce domaine en pleine ébullition des mécanismes de communication chez les plantes. La question de la « sentience » végétale avait même été abordée à la récente école d’été de l’Institut des sciences cognitives de l’UQAM avec une présentation de Frantisek Baluska intitulée « What a Plant Knows and Perceives ». Cela rejoint aussi le travail d’un «neurobiologiste végétal» comme Stefano Mancuso qui expose dans cet entretient les fondements de cette approche. Approche qui rejoint aussi celle encore plus large d’un Evan Thompson par exemple. Celui-ci n’a-t-il pas intitulé l’un de ses ouvrages Mind in Life ? Et pas seulement Mind in Animal Nervous Systems…

SOURCE : http://www.sciencepresse.qc.ca/blogue/cerveau-niveaux/2018/09/18/mecanisme-communication-chez-plantes-apparente-systeme-nerveux

Travaux pionniers sur la mémoire de la sécheresse chez les arbres

Travaux pionniers sur la mémoire de la sécheresse chez les arbres

Une collaboration entre plusieurs équipes académiques et privées suggère un rôle des modifications épigénétiques dans la réponse des arbres à leur environnement, notamment la sécheresse. Ces modifications sont stables dans le temps, comme une mémoire dont le potentiel adaptatif à long terme reste à démontrer.Le peuplier est une espèce particulièrement sensible à la sécheresse. Quand l’eau vient à manquer, l’arbre réduit sa surface foliaire, limitant ainsi les pertes d’eau par évapotranspiration. Cette adaptation spectaculaire peut survenir en quelques jours et elle est réversible, puisque les feuilles qui se développent après un arrosage reprennent la morphologie d’avant la sécheresse. Une expérience préliminaire (1) sur des peupliers en serre, en conditions contrôlées de sécheresse suivie d’un arrosage, laissait à penser que cette adaptation est liée à des modifications de l’ADN génomique par méthylation, modifications dites « épigénétiques ». Ces modifications apparaissent au niveau du bourgeon apical, siège du développement de la tige feuillée. C’est pour mieux explorer ce mécanisme en milieu naturel et dans le temps que les chercheurs d’Orléans et leurs collaborateurs (2) ont mis en place deux nouvelles expérimentations, l’une en pépinière, l’autre en champ. Dans les deux cas, on regarde comment varie la méthylation en réponse à des conditions de sécheresse survenant pendant l’été, saison de croissance végétative (3). A la différence de l’expérience précédente en serre, on mesure cet effet six mois après la survenue de la sécheresse, sur des bourgeons apicaux dormants prélevés en plein hiver. On peut ainsi apprécier la stabilité des méthylations dans le temps, au cours des divisions cellulaires successives, puis de l’installation de la dormance. Plusieurs génotypes de peupliers sont testés dans chaque cas pour évaluer l’influence de la diversité génétique.

Le taux de méthylation globale du génome est corrélé à la croissance de l’arbre, d’une manière qui dépend de la disponibilité en eau

Pour chaque génotype, les chercheurs observent que le taux de méthylation global de l’ADN varie entre la situation favorable et défavorable en eau, de quelques % en pépinière, de 20 à 40% en champ (4). Cette variation de méthylation ne va pas toujours dans le même sens : pour certains génotypes, il y a « hyperméthylation » en situation de sécheresse, pour d’autres, il y a « hypométhylation », alors que pour d’autres le résultat est neutre. « Mais ces variations ne semblent pas aléatoires pour autant, précise Stéphane Maury, coordinateur de l’étude. Elles sont en effet corrélées à la croissance des arbres, donc à la production de biomasse : en situation favorable, les génotypes les plus productifs sont les plus méthylés, alors qu’en situation de sécheresse, c’est le contraire : les plus productifs sont les moins méthylés. Ce n’est qu’une corrélation, mais cela suggère que le taux de méthylation dépend à la fois du génotype et de son environnement ».
Mise en évidence de régions génomiques concernées par la méthylation en réponse à la sécheressePour analyser plus finement ce qui se passe en termes de méthylation les chercheurs utilisent des « puces » (5) permettant de mettre en évidence individuellement l’état de méthylation d’un million de séquences génomiques, couvrant ainsi le génome du peuplier. Cette étude de « méthylome » est réalisée sur un seul génotype, toujours au niveau du bourgeon apical dormant, en environnement favorable et défavorable en eau pour chaque expérimentation. La comparaison des méthylomes entre la situation normale et la situation de sécheresse met en évidence des régions appelées DMR (pour Differentially Methylated Region)dont la variation de méthylation est restée stable pendant six mois après la sécheresse. On dénombre 871 DMR en pépinière, et 1391 DMR en champ. Une majorité de ces DMR est incluse dans les 4000 DMR qui avaient été identifiées dans l’expérience préliminaire en serre (sur bourgeon actif en cours de sécheresse puis ré-arrosage). En outre, il a été possible de trouver 161 DMR communes aux trois expérimentations (serre, pépinière et champ). Ce sont donc des régions particulièrement intéressantes à étudier, des sortes de « hot-spot » de méthylation, puisque leur état de méthylation varie en réponse à la disponibilité en eau dans tous les cas. On trouve parmi ces DMR communes des gènes connus pour être impliqués dans la réponse aux stress abiotiques, dont la sécheresse. Mais aussi des gènes impliqués dans le métabolisme de l’ARN, dans la division cellulaire et dans la régulation hormonale (acides jasmonique, abcissique, salicylique).
Le rôle de la méthylation de l’ADN dans l’adaptation à long terme à la sécheresse reste à prouver« Ce que l’on peut conclure de ces expérimentations, résume Stéphane Maury, c’est que certaines régions du génome subissent des modifications de méthylation en réponse à des variations de la disponibilité en eau du sol, que ces modifications sont corrélées à la croissance de l’arbre et qu’il y a aussi une influence du génotype. Autre conclusion importante, ces méthylations sont ciblées dans le bourgeon apical et elles sont stables dans le temps au cours des divisions cellulaires, puisqu’elles perdurent dans les bourgeons dormants plusieurs mois après la sécheresse estivale. Pour passer de cette approche corrélative à une approche plus démonstrative, nous utilisons actuellement des arbres hypo- ou hyper-méthylés par une approche d’interférence ARN et nous testons leur tolérance à la sécheresse. D’autre part, puisque nous avons montré que la méthylation représente une sorte de mémoire des épisodes de sécheresse estivale, il serait intéressant de savoir si les arbres ainsi « marqués » sont plus tolérants à une sécheresse l’année suivante, voire mieux adaptés au manque d’eau à plus long terme (6). C’est notamment l’objectif d’un nouveau projet ANR que je coordonne pour quatre ans, EPITREE (voir encadré 3). On touche là des mécanismes d’adaptation à la fois rapides et stables dans le temps qui pourraient être cruciaux pour la survie des arbres en contexte de changement climatique et de sécheresses répétées ».

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(1) Lafon-Placette et al., 2018. Changes in the epigenome and transcriptome of the poplar shoot apical meristem in response to water availability affect preferentially hormone pathways, Journal of Experimental Botany, Volume 69, Issue 3, 23 January 2018, Pages 537–551, https://doi.org/10.1093/jxb/erx409

(2) Projet ANR SYVABIOM. Collaboration Inra, Université d’Orléans (USC LBLGC, UMR AGPF, Silva, GBFOR) et FCBA.
(3) En pépinière, la situation favorable consiste en une irrigation durant l’été. En champ, la situation favorable est représentée par un site dont le sol est riche en eau (Côte d’Or) tandis que la situation de sécheresse est représentée par deux sites dont le sol est pauvre en eau (Bretagne et Loiret).
(4) Les variations de méthylation globale sont beaucoup plus importantes en champ qu’en pépinière, ce qui indique qu’en champ, la teneur en eau du sol n’est pas le seul déterminant, même si c’est le principal.
(5) Les puces se présentent sous la forme de lames de verre. Elles permettent de tester un grand nombre de séquences (ici des fragments d’ADN sur lesquels on mesure la méthylation grâce à des d’anticorps spécifiques de la méthylation de l’ADN).
(6) Phénomène appelé « priming ».

SOURCE : http://www.inra.fr/Chercheurs-etudiants/Biologie-vegetale/Toutes-les-actualites/Travaux-pionniers-sur-la-memoire-de-la-secheresse-chez-les-arbres

COLLOQUE Cheval et développement durable à Lamorlaye

COLLOQUE Cheval et développement durable à Lamorlaye

2e COLLOQUE « CHEVAL ET DÉVELOPPEMENT DURABLE »
Consacré à l’emploi et au développement économique de la filière hippique et équestre
Après le succès du premier colloque Cheval et Développement Durable, l’Université Populaire de la Biosphère organise la deuxième édition qui aura lieu le samedi 22 septembre 2018 de 14h à 18h dans la salle des conférences de la mairie de Chantilly, sur le thème des activités et emplois pour et avec les chevaux.

Comme l’année précédente, à l’initiative de Jean-Claude Marcus, ce colloque a pour but de favoriser les rencontres et les échanges entre les élus, les scientifiques et les professionnels du monde du cheval.

Cette année sera fait un panorama national suivi d’exemples d’évolutions et d’adaptations dans l’Aire cantilienne avec des entreprises pionnières ou de dimension européenne.
Chaque exposé ou table ronde sera suivi(e) d’un débat avec la salle.

> Le 2ème Colloque Cheval et Développement Durable est organisé par l’Université Populaire de la Biosphère et la Ville de Lamorlaye.
Le colloque aura lieu dans la salle des conférences de la Mairie de Chantilly le samedi 22 septembre 2018 de 14 à 18h.
Le colloque est soutenu par le Conseil départemental de l’Oise et la Communauté de Communes de l’Aire Cantilienne.
​​​​​​​Son entrée est gratuite et son accès sur Invitation uniquement.

ENTREE GRATUITE uniquement sur réservation préalable

PROGRAMME

12h00 -13h30 : déjeuner avec les conférenciers et les élus au restaurant Le Château de la Tour à Gouvieux.
13h30 -14h00 : accueil des participants au colloque à la mairie de Chantilly (sur invitation).
14h00 : Eric Woerth, Député, Président de la Commission des Finances : ouverture du colloque, son enjeu pour Chantilly et l’Aire Cantilienne.
14h05 : Nicolas Moula, maire de Lamorlaye : du premier colloque à Lamorlaye au deuxième colloque à Chantilly, le chemin parcouru.
14h10 : Edouard Courtial, Sénateur de l’Oise : le cheval et le développement durable dans les lois.
14h15 : Manoëlle Martin, Vice-présidente du Conseil Régional des Hauts-de-France : l’éducation et la formation aux activités et aux emplois pour et avec le cheval dans les Hauts-de-France.
14h20 : Nadège Lefebvre, Présidente du Conseil Départemental de l’Oise : l’Oise, terre de cheval.
14h25 : Jean-Claude Marcus, Président de l’Université Populaire de la Biosphère : présentation des conférenciers.
14h30 : Marc Fauconnier, Responsable du développement de Hippo-Ecolo : les activités et les emplois qui font revenir le cheval et la nature en ville.
14h40 : débat avec la salle
15h10 : Marie-Pierre Maynadier, Présidente du Centre Social Rural et de la Crèche de Lamorlaye: comment faciliter les emplois et la vie quotidienne dans les activités hippiques et équestres ?
15h20 : débat avec la salle
15h40 : Alexandre Goujard, Adjoint éducation et sports : le projet municipal pédibus-asinobus à Lamorlaye.
15h50 : débat avec la salle
16h10 : Pause
16h30 : Florence Willi, conseillère municipale et Patrick Ferec, Adjoint activités hippiques et équestres, développement économique : la brigade équestre de Lamorlaye.
16h40 : débat avec la salle
17h00 : Dominique Cocquet, Responsable des Espaces Equestres Henson : impact économique, social et environnemental des Espaces Equestres Henson.
17h10 : débat avec la salle
17h30 : Corinne Dufil, gérante PADD La Seigneurie Lamorlaye : dix années d’expérience commerciale au service des activités et des emplois pour et avec les chevaux à Lamorlaye-Chantilly.
17h40 : débat avec la salle
18h00 : Daniel Roelants, président de H.T.R. : activités et emplois pour le transport des chevaux.
18h10 : débat avec la salle
18h30 : Conclusion : lancer une étude pour relancer activités et emplois dans l’Aire Cantilienne ?