La biodiversité en France – 100 chiffres expliqués sur les espèces

La biodiversité en France – 100 chiffres expliqués sur les espèces

Découvrez les réponses à vos questions dans le nouveau livret publié à partir des données de l’INPN et s’appuyant sur des indicateurs de l’Observatoire National de la Biodiversité.

Il synthétise 100 chiffres clés sur les espèces de métropole et des Outre-mer et s’organise en quatre rubriques : Quelles espèces en France ? Comment sont réparties les espèces ? Comment se portent les espèces ? Mieux connaître les espèces.

Destiné au grand public mais également aux acteurs de la biodiversité, ce mémento permettra en un clin d’œil de retrouver tous les chiffres clés sur les espèces.

Grâce à de nombreuses contributions de chercheurs, taxonomistes et partenaires du projet, chaque chiffre sur les espèces est remis en contexte, accompagné d’explications, de schémas et illustré par des exemples concrets.

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Film – Le Temps des Forêts

Film – Le Temps des Forêts

Symbole aux yeux des urbains d’une nature authentique, la forêt française vit une phase d’industrialisation sans précédent. Mécanisation lourde, monocultures, engrais et pesticides, la gestion forestière suit à vitesse accélérée le modèle agricole intensif. Du Limousin aux Landes, du Morvan aux Vosges, Le Temps des forêts propose un voyage au cœur de la sylviculture industrielle et de ses alternatives. Forêt vivante ou désert boisé, les choix d’aujourd’hui dessineront le paysage de demain.

Année : 2018 – Durée : 103 min – Langue : français
En Savoir plus : https://www.kmbofilms.com/le-temps-des-forets

CONNAISSEZ-VOUS Lasylve ?

La Sylve est une association créee en 1992 de Coye la foret qui a pour but la protection et la mise en valeur du patrimoine naturel et culturel de Coye la Forêt, de son terroir et de ses environs.

• Elle organise régulièrement des conférences , des randonnées, découverte et entretien du sentier botanique,  des échange de plantes, des découvertes de nos champignons en automne…

• Elle continue de mener un travail considérable de protection et de valorisation de notre patrimoine écologique : Protection des batraciens, des écureuils, des papillons, des plantes. Elle a notamment redonner vie au site de la source du bois Brandin.

• Elle a également publié de nombreux fascicules :  Les oiseaux de nos jardins, Les oiseaux des forêts, des étangs…, Le cordier à Coye-la-Forêt, Coye et ses moulins à eau, Les petits chanteurs de la Reine blanche, La forêt de Coye, Les commerçants à Coye de 1925 à aujourd’hui, Toussaint Rose – Marquis de Coye, 1615 – 1701, Randonnée dans les rues de Coye-la-Forêt, Le cinéma et les étangs de Commelles, Autour des lieux-dits de Coye et de sa forêt, Le sentier botanique de Champoleux – Coye-la-Forêt…

 

CONNAISSEZ-VOUS l’arboretum national

CONNAISSEZ-VOUS l’arboretum national

Riche de son histoire, l’Arboretum des Barres est un véritable patrimoine végétal constitué de 2 600 espèces et sous-espèces venues des cinq continents et représentées par quelques 9 250 arbres et arbustes. Cette collection étonnante s’offre au public sur 35 hectares, dont 10 hectares accessibles aux personnes à mobilité réduite.

Depuis son ouverture au public en 1985, l’Arboretum des Barres a pour ambition de jouer un rôle majeur en matière d’éducation à l’environnement.  Ainsi, chaque année, plusieurs milliers d’écoliers, de collégiens ou d’étudiants de tous niveaux viennent découvrir à travers des activités très variées et encadrées par une équipe dédiée, les richesses et potentialités de notre environnement.

Sur les traces de la famille de Vilmorin et succédant à l’administration des Eaux et Forêts et à la fameuse École forestière des Barres, l’Office national des forêts est, depuis 2009, gestionnaire de cet espace qui s’inscrit dans un domaine vaste de 283 hectares et continue de faire de l’éducation à l’environnement une priorité.

Seul, en famille, en groupe… en autonomie ou en visite guidée… chacun est libre d’appréhender les collections de l’Arboretum comme il le souhaite. Quel que soit le mode de visite, les cinq sens seront sans aucun doute éveillés. De plus, l’Arboretum est labellisé Tourisme Handicap depuis 2009 et s’est engagé dans la démarche Qualité Tourisme en 2014.

Soucieux de s’adresser à tous les publics et d’offrir de nouvelles approches en matière de tourisme de nature, l’ONF propose, depuis 2009, une saison d’ouverture rythmée par de nombreux événements et animations qui oscillent entre nature et culture : théâtre, musiques du monde, rencontres artistiques mais aussi balades insolites, applications multimédias, ateliers culinaires, fêtes des plantes… sont une manière à la fois ludique, culturelle et innovante de parcourir les cinq continents que représentent les collections de l’Arboretum.

A visiter absolument … Plus d’infos ici : http://www.arboretumdesbarres.fr

LIVRE – l’arbre cet allier méconnu

Dis, ça sert à quoi un arbre vivant ?

L’arbre des villes est grignoté par l’urbanisation, l’arbre des champs est grignoté par la mécanisation, l’arbre des forêts est grignoté par l’exploitation.

Pourquoi ?
Peut-être parce que nous avons tendance à aborder la nature du côté qui nous est directement utile. Et nous ne connaissons que trop l’utilité d’un arbre mort : il fait des planches, du papier, du bois pour se chauffer. De même, il nous est utile de supprimer des arbres pour gagner de la place où habiter, circuler en voiture, ou encore pour laisser le champ libre au tracteur.

Mais, pour défendre nos arbres, nous gagnerions à mieux connaître en quoi ils nous sont utiles de leur vivant. Ils savent nous aider dans de nombreux domaines, dont certains sont tout simplement vitaux. Au-delà de leur utilité, les arbres regorgent d’une richesse que nous commençons à peine à percevoir. La science s’intéresse depuis peu à l’arbre pour des propriétés que nous croyions réservées aux animaux : l’échange, la communication, la mémoire… Les découvertes sont surprenantes. Ces conclusions résultent de longues et minutieuses études, pourtant nous sommes parfois tenté·es de dire qu’elles pourraient provenir du simple bon sens, comme le fait que nous nous sentons mieux en présence des arbres. Après tout, nos lointains ancêtres vivaient dans les arbres. Quoi de plus logique que d’être faits pour vivre en leur compagnie ?

Raison de plus pour s’armer de bons arguments et s’organiser collectivement afin de préserver nos arbres. Parce que quand on coupe des branches ou un tronc, c’est un peu nos propres racines que nous coupons.

En savoir plus : http://www.revuesilence.net/471

Philippe Crassous